PRESSE ECRITE

Le parisien

Seine et Marne

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Télérama avril 2021
Il est cocasse et grave, extravagant et rigoureux, instinctif et technique…Danseur, chorégraphe, performeur et touche-à-tout, Karim Sebbar possède surtout le goût de la rencontre et celui de tisser avec l’autre mille et un croisements. Actuellement, ce carrefour bien fréquenté s’appelle « cabaret » et jongle entre danse, cirque, théâtre, musique et surtout poésie et encore humour. Le tout devrait, Sebbar oblige, régaler sans souci une large tablée.
Rosita Boisseau

Le Monde 07/11/2017
Comme il l’annonce lui même, il a « la quarantaine rugissante, le bilan bileux après vingt ans de vie chorégraphique ».Mais pas tant que ça ! Karim Sebbar , tempérament Généreux et fantaisiste, sait remettre les pendules de la vie, aussi acide soit-elle parfois, à la bonne heure : celle de l’humour.
Dans ce solo détonnant et volontairement hors des sentiers battus, il l’a d’abord présenté dans une friche transformée en bistro d’un soir, Karim Sebbar met sa vie de danseur en mots, depuis ses débuts aus Folies Bergère jusqu’à ses explorations en solo dans la rue, le titre de ce coup de tête : « K par K » ou l’histoire d’un homme qui danse.
Rosita Boisseau

Danser 02/2016
Karim Sebbar fait de K par K un autoportrait saisissant, entre délire lorsque le danseur évoque les cabarets et ses jolies filles et nostalgie sur le foot de son enfance en banlieue. Surtout, Sebbar se moque de lui avec finesse, et des stéréotypes qui traînent sur les danseurs ou les travers de l’intelligentsia. K par k est comme un one-man-show, une suite de petits sketches, avec presque rien de costume et encore moins de décors, mais dansé avec une énergie et une verve étourdissante et souligné par une tchatche que rien ne prend en défaut. Un joli moment de dérision ;
Philippe Verrièle

Libération du 21 09 2015

Des artistes « tout terrain » se saisissent de l’espace extérieur et intérieur du musée
pour y proposer une étrange visite guidée, parcours « perturbé » jalonné de petites
formes improvisées musicales et chorégraphiques. Karim Sebbar et son équipe attisent notre curiosité, jouent à nous surprendre et nous entraînent dans l’aventure d’un spectacle tout en malice. Ils développent, avec simplicité, humour et poésie, une danse de proximité, humaine et généreuse qui installe une relation très directe avec le public. Maïa Bouteillet

Télérama 29 06 2015
Entrechats de Gouttière, article de fond sur les chorégraphies de rue réalisé par Rosita Boisseau Télérama n° 2894 29 juin 2005 page 54 & 55

La Marseillaise 5 07 2014
Ils ont su redessiner la cité en direct, déplaçant les objets, entraînant le public, le prenant souvent à son propre jeu, détournant les signalisations, défiant les murs, les portes et les obstacles urbains, s’allongeant sur le bitume, et proposant, sous un aspect attachant, une autre lecture de cet environnement que l’on croyait connaître.
Jan Jouvert

Midi Libre 1 07 2013
Explosions de notes, comédiens qui se met à diriger les danseurs comme un chef d’orchestre, mouvements pour entraîner le simple passant, l’air de rien, dans le spectacle et le sortir de son quotidien.
Caroline Froelig

Nice-matin 18 09 2010
Fanfaresque encore, l’étonnante déambulation du Fanfare Ballet, (…) huit corps, saturés d’énergie, dont les frottements électrisent les rues.
.Inspirés sans doute des univers des Marx Brothers, de Buster Keaton et de Jacques Tati, ils inventent un nouveau cirque musical où les objets banals deviennent des instruments de musique dont on fait par exemple des pyramides. Bousculant le public, ils le dévergondent gentiment, affichant une belle innocence dans laquelle on ne réussit pas à démêler la part écrite du spectacle et celle qui relève de l’improvisation. C’est l’enfance de l’art portée au plus haut degré !
Annick Manbon

Mouvement le 27-02-2003
Avec plusieurs complices musiciens et danseurs, Karim Sebbar a lancé ses Perturbations au cœur de Dijon, du 10 au 15 mars. Au détour d’une rue piétonne ou dans une exposition, dans le hall d’un théâtre ou au milieu d’un grand magasin, ces Perturbations s’invitent et s’infiltrent dans l’espace urbain., pour le plus grand bonheur des yeux et des oreilles. Plasticien de formation, Karim Sebbar a fait ses débuts en danse aux Folies Bergères avant de travailler pour Maguy Marin et Mark Tompkins puis, ces toutes dernières années, de privilégier les démarches d’improvisation et de composition spontanée.

SPIP | par Evous